lundi 30 août 2010
Ray Davies est de retour !
dimanche 29 août 2010
samedi 28 août 2010
Thin Lizzy le 26 janvier au Bataclan : The boys are back in town !
mercredi 25 août 2010
The Jim Jones Revue en concert !
Pour ceux qui ne connaissent pas : Du putain de rockabilly baveux et très électrique. Un son au grain british dégoulinant, le tout agrémenté de piano et d'une VOIX. Du bon vieux Rock and Roll.
Voici le récapitulatif des concerts français :
Blois (41) - Chato Do - le Vendredi 05 Novembre 2010 à 20h30
Dijon (21) - La Vapeur De Dijon - le Dimanche 07 Novembre 2010 à 18h00
Bordeaux (33) - Rock School Barbey - le Jeudi 11 Novembre 2010 à 21h00
Aytre (17) - Salle Georges Brassens A Aytre (La Rochelle) - le Vendredi 12 Novembre 2010 à 21h00
Lorient (56) - Festival INDISCIPLINEES - le Samedi 13 Novembre 2010 à 20h30
Marseille (13) - Le Poste A Galene - le Lundi 15 Novembre 2010 à 21h00
Poitiers (86) - Confort Moderne - le Mercredi 17 Novembre 2010 à 20h00
Amiens (80) - Lune Des Pirates - le Jeudi 18 Novembre 2010 à 20h30
Lyon (69) - Big Tinnitus Festival - le Samedi 6 novembre 2010 à 20h00
Paris (75) - La Machine du Moulin Rouge - le Mardi 9 novembre 2010 à 20h00 ( J'y serai )
Le Mans (72) - BeBop Festival - le Mercredi 10 novembre 2010 à 20h00
Paris (75) - Festival les aventuriers/Fontenay sous bois - le Vendredi 17 décembre 2010, à 20h00
Pressé de voir ces mecs en live !
;)
samedi 21 août 2010
Plus de net jusqu'à mercredi ( Au minimum )
;)
mercredi 18 août 2010
dimanche 15 août 2010
Reformation de Black Sabbath avec Ozzy
vendredi 13 août 2010
Le maillot du père Brian...
jeudi 12 août 2010
Une journée de juin au George 5...
Une entreprise ridicule mais tellement importante à mes yeux.
Mon ultime et unique moyen d'approcher mes idoles, d'échanger et de partager quelque chose avec eux...
Accompagné de mon fidele Sébastien, nous prenons la route vers le G5, sous un temps lourd et menaçant.
Je voyage lourdement, et pour cause ! Entre les vivres et quelques feutres, je transporte l'énorme et magnifique ouvrage du Backtracks Deluxe, en plus de photos d'archives imprimées sur papier glacé, une sorte de verveine rare pour Angus et d'un maillot de foot.
" Qu'est-ce qu'un putain de maillot de foot vient foutre là -dedans ? " me direz vous... Et bien, je souhaitais juste, à travers ce présent, offrir quelque chose de symbolique au grand Jonna.
Quelque chose d'assez con et original pour le faire marrer mais également, quelque chose de... sentimental, presque.
Il est environ 10h lorsqu'en nous dirigeant vers le G5, sur les Champs Elysées, nous rencontrons une bouille familière, attendant à coté d'un banc.
Je m'approche machinalement vers elle et je vois sa main se tendre vers moi, tandis qu'un sourire prend forme.
Nous entamions une petite conversation avec un certain " Alain Chabat ", s'empressant de nous demander, à la vue de nos tee shirts AC/DC : " Oh !! Vous y allez demain ?! J'suis fan ! J'y vais aussi ! Dans un gradin VIP ou je ne sais quoi... J'adore ce groupe ! Qu'est-ce-que vous faites là ?! "
Il est amusé d'apprendre que nous allons justement tenter d'apercevoir les Boys ! Son impression, enjouée et intéressée, était telle qu'il semblait vouloir nous accompagner s'il en avait eu le temps.
Après une rapide photo avec cet adorable bonhomme, nous repartons vers le G5.
A peine arrivés, nous découvrons avec stupéfaction une masse importante de personnes, tassées vers l'entrée de l'hôtel. J'essaie de me renseigner et j'apprends que Bon Jovi, qui a enflammé Bercy la veille, s'apprête à sortir !
Postés assez loin pour ne pas gêner les vrais fans, nous assistons à une mini séance de dédicaces. Le groupe part ensuite très rapidement, dans un van et tous les fans avec, mais de leurs côtés.
Les AC/DCiens se retrouvent entre eux.
L'un deux a fait faire le déplacement à une charmante Epiphone G400. Un autre a fait prendre l'air à quelques vinyls.
Nous sommes une petite vingtaine à attendre paisiblement devant l'entrée de l'hôtel, sous les regards respectueux des voituriers, et ceux interloqués des touristes.
Nous sympathisons rapidement, entre fans.
Il est aux environs de 11h, et c'est Phil, accompagné d'une charmante dame, qui sort de sa demeure.
Je tends mon bouquin imposant ainsi qu'un feutre et, bien qu'hésitant fortement entre " Rentrer dans mon carosse " et " Faire plaisir à ces petits "... il s'approche vers moi.
Je suis comblé. Cependant, il n'offre pas un seul sourire, ni même un seul mot.
Sa venue est d'une vexante rapidité. Il signe mon Backtracks. Il signe une guitare. Il s'en va.
( Il réapparaîtra ensuite à plusieurs reprises, sans nous prêter la moindre attention )
Le temps passe. Nous mangeons dans le silence. La seule distraction est de compter combien le voiturier " Number One " touche de pourboire.
Le temps passe. Le temps passe. Le temps passe.
Notre espoir devient minime. Mon rêve de glisser un mot à Malcolm, de faire rire Brian et d'admirer ces mecs... Tout s'estompe.
C'est seulement vers 15h30 que le petit Angus va montrer le bout de son nez. Restant sur le trottoir en face, et ne voulant pas le déranger, nous nous contentons d'un aimable signe de la main, tandis qu'il monte dans un van Mercedes.
Le temps passe de plus en plus vite.
Des guignols commencent à affluer, à nos côtés.
Je me souviendrai toujours de ce phénomène... Un géant vulgaire, aussi haut que large, la bouche débordant de niaiseries infâmes, se vantant d'avoir eu 5 photos avec Mickael Jackson, et 5 autres avec Kylie Minogue... Et j'en oublie...
Ce phénomène tellement gerbant de par son appât du gain et son affligeante envie d'être vu avec des célébrités.
Ce même phénomène, capable de faire les plus belles éloges à Angus, pour ensuite le traiter de tous les noms, après que celui-ci ait refusé une honteuse photo avec ce spécimen rare de stupidité.
Quelques rumeurs bon-enfant circulent, comme quoi le groupe vient d'entrer au restaurant et n'est pas prêt d'en sortir. C'est amusant.
Cependant, je reconnais le frêle et joyeux Ross ( Fils de Malcolm ) sortant du palace, et lui fais un rapide signe de la main en disant son nom. Il me répond, gentiment !
Le temps s'écoule...
Vers 17h, un superbe truck, peint aux couleurs d'AC/DC, vient se garer en face du G5.
Beaucoup de curieux viennent féliciter l'auteur de cette splendide oeuvre, pleine de dévouement et de fanatisme.
Le petit Ross ressort, lui aussi intrigué par ce camion. Il s'approche de nous, tout en souriant. Brandissant son Iphone pour immortaliser l'instant, et sachant que le groupe ne sortira plus, à cette heure, je prends mon courage à deux mains.
Saisissant la verveine et le maillot, je me dirige vers ce petit bout de mec, toujours animé d'une bonne humeur éclatante.
Il me reconnaît et nous commençons à discuter. Il se montre vraiment épaté par le maillot qu'il trouve réussi. Il m'explique qu'il n'a pas prévu de voir Angus aujourd'hui, cependant, il veut bien se dévouer à offrir mon cadeau à Brian. J'accepte immédiatement.
Après une rapide photo et une envie de le serrer dans mes bras pendant des heures, je me retire.
2 minutes après, toujours là, il me fait un signe discret, dégainant un sourire malicieux. Je m'approche et il me demande de tendre la main. Je m'éxécute. Et calmement, il verse de ses doigts tout fins, deux médiators: ceux d'Angus et Malcolm.
Ma joie est débordante, ce moment est magique.
Je le laisse aller, non sans peine, déja mélancolique de cette rencontre. Il me lance encore quelques regards, heureux.
Je ne vais pas tarder à repartir. Il est plus de 18h.
A peine en train de dire un : " Au revoir ! A demain les amis ! " aux quelques fans restants qu'un van noir vient se garer devant le hall.
Un énorme attroupement se forme. Angus rentre de sa promenade avec sa famille.
De simples piétons curieux vont même jusqu'à se faire prendre en photo avec un sombre inconnu, à leurs yeux, empêchant ainsi les véritables fans de goûter à cet instant tant attendu.
Je tente de me hisser dans la foule, tenant mon livre et mon thé. Du mieux que je peux, je savoure de voir Angus en face de moi si simple et tolérant avec ses admirateurs.
Cependant, et ce n'est que maintenant que je m'en aperçois... j'ai de la peine devant le synthétique de cette rencontre.
Angus signe tout et n'importe quoi. Il ne prête aucune attention à ceux qui l'entourent. Il est semblable à une sorte de machine, se laissant triturer, prendre en photo... Mais réservant son côté humain pour un tout autre monde.
J'arrive tout de même à lui présenter le massif Backtracks qu'il signe à l'aide de mon Posca blanc. Il ne me regarde pas.
Je n'ose même pas espérer une photo avec lui.
S'apprêtant à repartir, à l'aide d'un gorille de 2 mètres, je hurle pour lui donner la fameuse verveine. Mes paroles n'ont aucun effet. L'énorme macaque qui lui sert de protecteur me prend violemment mon sachet des mains en grognant qu'il lui donnera.
A l'heure d'aujourd'hui, je ne sais pas toujours pas si il l'a fait.
Nous rentrons enfin vers Chelles. Je ne montre rien de ma légère déception.
Pourquoi râler, après tout ? J'ai du CONCRET ! J'ai 2 AUTOGRAPHES de ANGUS et PHIL ! J'ai 2 MEDIATORS !
Certains n'ont pas cette chance !!
Et bien, je vous le dis : si je pouvais échanger ces quelques souvenirs d'une laborieuse journée contre un sourire, un regard, un mot , je le ferais.
Cela n'empêche que cette journée restera gravée dans ma mémoire comme l'une des plus profondes qu'il m'ait été donnée de vivre.
mercredi 11 août 2010
KISS : Nouvel album pour 2011 ?
Compte rendu : Aerosmith à Bercy
Cependant, ayant assisté à mon " dépucelage " live concernant Aerosmith...
... Je peux vous assurer que le concert était d'enfer.
Je suis arrivé à Bercy vers 18h, à moto, avec mon père, et sans places.
Heureusement pour nous, parmi une énormité de revendeurs " mauvais ", nous avons rencontré une charmante femme, fan du groupe, que je remercie encore et qui a eu la bonté de nous céder pour un prix minime deux Cat. 1.
Enfin bref...
Arborant fièrement un tee shirt ZZ Top, j'entre tranquillement dans Bercy, accompagné de mon père. Nous allons retrouver nos places, assez bien situées ainsi que d'immondes sandwiches préparés avant de prendre la route !
Une première partie daubesque, nommée The Cribs, me rappelant Les Prostitutes d'Airbourne au Zénith, entre en scène sous de timides applaudissements qui deviendront rapidement des insultes massives proférées par un public hargneux vexé par cette prestation pitoyable.
L'attente est anormalement longue... Bercy est maintenant rempli à craquer.
Les lights s'éteignent, laissant l'immense drapeau Aerosmith flotter dans vide... Et c'est Everybody Must Get Stoned de Bob Dylan qui résonne joyeusement dans l'arène.
Au bout de 3 minutes environ, Bob Dylan ferme son clapet et laisse la place à la mélodie indy et juste énorme de Love in an elevator...
A travers le cri strident de Mr. Tyler, le rideau tombe, laissant apparaître un sublime mur d'amplis Marshall ainsi qu'un groupe en grande forme ( Joe et Steven pleins de p'tits froufrous ! )
La fosse est chaude et participe... L'ambiance est là !
Le rendu sonore est assez bof et brouillon mais je peux quand même vous affirmer qu'il n'y a pas eu de fausses notes chez Perry et de bugs quelconques dans les pilliers rythmiques !
Le début du show est pour le moment extra. Entre Love in an elevator, Back in the saddle, et Eat the rich ( Ma chanson préférée du groupe ) , c'est juste excellent !
Ensuite... Je deviens mitigé !
Les " ballades sucrées " telles que Pink, Livin' on the edge et Cryin' arrivent... Le public se calme et le show traîne en longueurs... Mais les interpretations sont parfaites !
La machine repart ensuite, agrémentée d'un monstrueux solo de batterie.
Tout s'enchaîne à la perfection. Le tandem Perry / Tyler fait le show. C'est fabuleux à voir.
La reprise de Baby please don't go est exceptionnelle.
Arrive le rappel ( Assez long ) et un retour sur scène pour le légendaire Dream On, immédiatement suivi d'un Walk this Way à réveiller un pape mort !
Le public se défonce... Le moment du : " Put your hands in the air " arrive, et, sur le coup, c'est juste magique. Un océan pastel se diluant avec force dans la lumière et la mélodie, sous les impulsions de Steven , qui semble béat devant cette vision hallucinante que lui fournit le public français...
Perry décoche enfin un superbement intense Toys in the attic. Les fans le savent : c'est la fin, il faut en profiter... Un dernier instant.
Le groupe entier vient saluer son public, ému.
Voilà, je regrette vraiment de ne pas avoir vu Aerosmith en 2007, sachant que beaucoup se permettent de critiquer ce concert de 2010, en le comparant avec son aîné.
En tout cas, j'ai pris mon pied et je me suis éclaté !
Un putain de groupe qui impose le respect. J'espère les revoir vite !
;)
Furious Watts...
Compte rendu : AC/DC au Stade de France 2010
Nous savions tous que la machine était rôdée... Mais atteindre un tel niveau de pureté, même pour assister à un show copié-collé à de multiples reprises... Il fallait le faire !
Un guitariste noyé dans sa saturation immonde... Et le reste qui passe profondément inaperçu.
Le groupe quitte la scène après un incroyable show... Tellement comblé...